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La brigade des mères ou l’espérance de la France

La brigade des mères ou l’espérance de la France

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Nous savions des territoires sortis de la République par la manifestation de l’insécurité permanente. Nous prédisions avec Villiers l’émergence de places fortes musulmanes en France où la Charia serait appliquée. Et nous criions dans Mauvaise Nouvelle et ailleurs : Où sont les femmes, où sont les féministes ? Nous déplorions en effet que la gauche abandonne ses valeurs et combats les moins discutables au profit du seul et unique multiculturalisme. Projet qui mit la gauche au service d’un capital friand de déraciner les individus pour une main d’œuvre à un euro, et friand de communautarisme pour démultiplier à l’envie les modes de consommation.

Et bien c’était sans compter sur la force des femmes de l’assimilation qui sut parfois être heureuse. Nous avons pu bénéficier cette semaine d’un reportage tout à fait édifiant. Un reportage qui n’est pas une surprise pour ceux qui ont pu observer l’islamisation de la France, mais qui fut une surprise dans son mode de diffusion sur une chaîne dont l’actionnaire est le premier et principal collaborateur de cet Islam conquérant. France 2 a suivi deux militantes de La Brigade des mères dans une banlieue de la région parisienne. Nadia Remadna et Aziza Sayah se battent pour la liberté des femmes dans ces quartiers. Ouf ! La France n’est peut-être pas perdue. La petite Djamila imaginée par Sarah Vajda aurait peut-être une chance de s’en sortir demain…

Les mères-courage filment en caméra cachée leur entrée dans un café à Sevran (Seine-Saint-Denis). A peine arrivées dans l'établissement, elles sont interpellées par les hommes dont la seule fierté est de dominer une ou deux femmes. "Le mieux, c'est d'attendre dehors […] Y'a que des mecs dans ce café", dit l'un. "Dans ce café y'a pas de mixité. On est à Sevran, on n’est pas à Paris. T'es dans le 93 ici, c'est des mentalités différentes, c'est comme au bled". Le 93, c’est comme là-bas dit ! Quelle tristesse… Nous n’apprenons rien bien sûr, mais avons de quoi nous réjouir de l’absence de gloseurs raisonneurs venus traiter ces femmes de fascistes, et préserver cette pseudo culture de ces hommes sans envergure. Il y eu même une secrétaire d’état pour s’indigner de concert avec ces femmes interdites de cité, Axelle Lemaire, secrétaire d'État au Numérique a estimé sur Europe 1, qu'il fallait "faire comprendre à l'ensemble de nos concitoyens que ce sont effectivement des pratiques intolérables et qui ne peuvent pas être tolérées". Le reportage de France 2 nous montre également un mouvement de femmes à Rillieux La Pape en banlieue de Lyon qui marchent régulièrement à la reconquête de l’espace public, des blanches ayant du mal à mobiliser les musulmanes à cause de la terreur exercée dans ses quartiers.

Bien sûr le silence assourdissant de Najat ou de Taubira, traduit leur difficulté à restructurer leur dialectique. Dire qu’elles seront les premières à morfler des conséquences de leur idéologie multiculturaliste et islamophile ne me séduit même pas…


Société : quand les femmes sont indésirables dans les lieux publics


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