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Mélenchon inculte véritable au culot d'antisémite sincère et absolu

Mélenchon inculte véritable au culot d'antisémite sincère et absolu

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Il fut un temps, lointain, courtisan sans doute, et pour tout dire mitterrandien et servile, voire presque socialiste d'avant 1992 puis un peu après encore, où M. Mélenchon ne jurait que par M. Léon Blum. Il s'y risqua ensuite jusqu'à la caricature. Même au grotesque plein du trait.

Aujourd'hui, quid ? C'est balayé tout ça. Oublié. M. Mélenchon se fout de son passé, de ses amours décomposées. De son socialisme proclamé. Il n'a d'yeux énamourés et chimériques désormais que pour les talents criés par lui de M. Bompard. Au point de confondre en prime, et en tandem douteux, Mathilde Panot avec Chimène. M. Bompard, avouons-le, n'est qu'un personnage acide et toxique. Qui n'a rien du Cid. Son culte guerrier chasserait plus volontiers les Israéliens depuis le Jourdain jusqu'à la mer. Et c'est cet apologiste du terrorisme et ce partisan poule mouillée de l'éradication faite par d'autres qu'approuve pleinement et que bénit en socialiste flou et renoncé M. Mélenchon. Actons la chose !

Pour marquer son renoncement et son dépôt de bilan dans l'ordre de la conviction politique, M. Mélenchon se fait crocheteur au culot, cambrioleur virulent de la République, dont il voudrait faire anarchiquement son butin personnel. Et il fait son métier de voleur en idéologie violemment, salement. Et il n'hésite pas devant le plus gros mensonge qui pourrait passer. Ainsi, il accable Léon Blum. Jusqu'à comparer favorablement son acolyte M. Bompard mais en dépréciant, en déprimant, en diminuant Léon Blum, et avec quel faux art, quel jeu de truqueur, quel élan de bonimenteur conscient et malsain. Et le tout, gonflé à bloc, au culot, vif et saignant en trouvant Léon Blum "pas au niveau" en 1936 ! Décidément, l'inculture réelle de Jean-Luc Mélenchon a encore su frapper aussi bas que faux… Comme lorsqu'il affirmait (de façon posthume, c'était vraiment plus facile et tellement courageux, n'est-ce pas ?) qu'Alexandre Soljenitsyne était un odieux et infect antisémite. Quelle sinistre honte ! Et quelle lâcheté béate et idiote et violente incarne décidément, à lui tout seul ou entouré, M. Mélenchon… Cette sottise enragée qui aspire au pouvoir à nouveau, et par la faute d'un mauvais manieur d'allumettes vexé dans son petit prestige électoral gâché, voilà qui franchement et absolument me dégoûte.

Sans doute, au fond, M. Mélenchon est-il embarrassé par la judéité honnête, cultivée pleinement et socialement valable, elle, de feu Léon Blum. Enfin sincère, camarade Mélenchon ? Pour une seule fois !

Depuis trop de décennies politiques, M. Mélenchon fait croire qu'il sait lire et qu'il a de la culture, il vient de prouver définitivement qu'il n'en possédait rien, qu'il ne portait que des œillères, et qu'il n'avait de lettres que les trois qui forment le mot sot. Il devrait lire Rostand. Cela l'éclairerait. Sur son cas d'aspirant ministre sinistre. Définitivement ? Pas forcément, hélas…

Que lui répondre ? Rien, ou presque. Mélenchon ? Assez. Et toute l'imposture du faux nouveau Front populaire, comment la résumer ? Par l'indignité de sa composition. Un ensemble politicien bas, un ramassis glauque, aux vertus postiches. Et aux verrues et véroles d'immoralité totalement visible. La politique devient bien un anoblissement de la vérole, comme disait presque Michel Audiard. Et le cloaque de M. Mélenchon et consorts toléré par M. Glucksmann fils, qui renonce à tout même au réel de l'antisémitisme gauchiste que combattait son père, le prouve, et le beugle ! Et le montre. Il convient aux Français conscients de n'être désormais ni sourds ni aveugles, disons-le, et disons leur : il faut être massivement engagé dans un exercice d'expression publique, de volonté, et dans une série d'actes lucides, un effort plein, honnête, complet, intègre ; l'intégrité publique, cette vertu réelle mais trop rare. La seule qui doive être retrouvée et restaurée ! Face à M. Mélenchon et à ses complices, faussaires de la vie publique et orateurs malsains par leur jactance et par leur convictions frelatées, quoiqu'affichées désormais sans honte aucune. Pas même celle de leur ridicule sordide, une honte toute ravalée, planquée sous les formules et les slogans bidons, mais franchement, acoquinée au mensonge plus gros qu'un iceberg. M. Mélenchon parle comme un énergumène. M. Glucksmann fils ne le veut pas en premier ministre, mais il l'accepte et le soutient dans le rôle pourtant manifestement éructant du vrai meneur de jeu, du tireur de ficelles, du mafioso idéologique glaçant du faux en écriture et en idées politiques que représente au grand jour le Nouveau Front populaire.

M. Glucksmann fils n'était déjà pas grand chose dans les catégories de la lucidité, il n'est plus désormais, aveuglément ou non, rien d'autre que : "le bon Juif" de l'antisémite M. Mélenchon. Mais M. Glucksmann fils met le pays en danger. En s'en foutant ! Il est vrai qu'il aime davantage certaines capitales ou métropoles étrangères plutôt que diverses cités françaises. Dont acte, M. Glucksmann, Jr. ne considère la politique qu'en position couchée, même inconfortable.

Face au délire verbal de M. Mélenchon, et la notion ou mention "d'honorable gentleman" en moins, on est tenté de répondre comme Churchill à un opposant aux Communes : "L'honorable gentleman veut-il bien beugler cela une deuxième fois ?"… La vieille Angleterre était peut-être plus vaillante que la France politicienne d'aujourd'hui !


Les français sont -encore- bien nuls
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