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Réflexions sur le coronavirus

Réflexions sur le coronavirus

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J’ai été très préoccupé par le fait que mes petits-enfants franco-japonais puis leur père soient atteints par le coronavirus ces derniers jours et je voudrais ici livrer à mes lecteurs mes dernières impressions.

Dans le pays natal du Docteur Satoshi Omura, découvreur de l’ivermectine dans les années 1970, il paraît surréaliste que l’invermectine ne soit pas administrée à un malade souffrant à l’évidence d’une infection coronavirale et ceci dès l’apparition des premiers symptômes. Le docteur Omura a fait la promotion du traitement sur la chaine de télévision japonaise NHK au printemps 2021 lorsque les évidences se sont accumulées quant à l’efficacité de ce produit pour traiter l’infection coronavirale. Il a été immédiatement censuré ! Ces études en provenance de divers pays ont été bien entendu critiquées par les grands laboratoires pharmaceutiques car elle n’étaient pas conformes au principe des essais cliniques en double aveugle mis en place et promus par ces mêmes laboratoires. Plus d’une cinquantaine d’études réalisées dans des pays aussi divers que l’Iran, certains Etats de l’Inde, du Brésil ou encore du Mexique sont formelles : l’invermectine est efficace pour traiter l’infection coronavirale au stade précoce et est également efficace pour un traitement plus tardif. Devant le danger que représentait ce produit peu coûteux et aux effets secondaires nuls pour leur business-plan « tout-vaccin » les laboratoires pharmaceutiques occidentaux ont exigé des agences nationales de santé qu’il soit interdit à la vente.

Un médecin généraliste, y compris au Japon, n’a pas le droit de prescrire ce produit à un patient présentant tous les symptômes cliniques et les évidences analytiques d’une infection coronavirale. Cette interdiction de l’ivermectine rapprochée de celle de l’hydroxy-chloroquine a provoquée dans le monde entier des décès qui auraient pu être évités, peut-être 2,5 millions voire plus. Ce sont les laboratoires pharmaceutiques et les agences de santé complices de ces derniers qui sont donc des criminels. Qu’a suggéré le médecin que mon fils a consulté à Tokyo ce lundi 23 août : rester chez lui et prendre du paracétamol, en attendant de ne plus pouvoir respirer ? Où est passé le devoir de soigner et de sauver des vies des médecins. Les agences de santé nationales ont piétiné le droit de prescrire des médecins en leur âme et conscience dans le but de soigner leurs malades.

On a pu constater avec cette épidémie de coronavirus que la médecine n’est plus l’affaire des médecins traitants généralistes de ville mais des autorités gouvernementales qui reçoivent des ordres du cartel des BigPharma occidentaux, il faut le dire clairement malgré le fait que cette affirmation ne peut être étayée par des informations indubitables, et pour cause : tout s’est passé avec l’intervention bienveillante, en ce qui concerne la France, du cabinet de consulting McKinsey auquel a fait appel, ô surprise, le président français pour organiser la campagne de « vaccination » en France. Ignorant autoritairement l’efficacité maintenant prouvée des deux produits cités plus haut les gouvernements ont failli à leur mission de protection des personnes dont ils ont la responsabilité. Ils devront rendre compte devant la justice de leurs actes. Plutôt que d’encourager les médecins généralistes en première ligne à traiter précocement leurs malades avec l’un des deux produits cités plus haut ces décideurs politiques ont préféré la voie du « tout-vaccin » avec des produits dont l’efficacité n’est même pas prouvée mais dont la dangerosité devient de plus en plus évidente, en particulier en ce qui concerne l’ADE (Antibody Dependent Enhancement), une réaction immunitaire violente dont peut souffrir une personne « vaccinée » au contact du vrai virus. Rappelez-vous l’essai en phase III du vaccin expérimental contre la dengue organisé par Sanofi aux Philippines qui, pour cette raison, conduisit au décès de plus de 2000 enfants.

Il apparaît ainsi qu’en Israël la moitié très exactement des malades du coronavirus hospitalisés pour des formes graves ont pourtant été doublement « vaccinés » alors que les fabricants de ces potions prétendaient qu’elles protégeaient contre une nouvelle infection. Il en est de même pour la Grande-Bretagne … et on veut obliger toute la population à se plier à cette injection de poison ? Cette décision du « tout-vaccin » est donc également criminelle ! Nous vivons non plus dans un monde étrange mais maintenant dans un monde dangereux où la fraude généralisée au détriment de la santé et de la vie de centaines de millions de personnes n’a pas l’air de perturber les décideurs politiques, et cette situation exceptionnelle ressemble étrangement à la fraude climatique … Quelques liens ci-dessous.


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