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Le 10 septembre : Happy Birthday, Mr Niemand

Le 10 septembre : Happy Birthday, Mr Niemand

Par  

Happy birthday to you !

Je regarde la Méditerranée à Torremolinos. La mer sépare l’homme du singe, comme le disait jadis, avant la pandémie du politiquement correct, un humoriste célèbre dans cette ville où les Russes, les vieux et très vieux Espagnols, sortes de pensionnaires d’EHPADs, avec ou sans famille, en court séjour ou en villégiature, pédés affichés et d’autres races, passent la fin de l’été. Je rentre à Paris sous un ciel orageux cet après-midi. Dans dix jours j’aurai, si Dieu le veut, mon anniversaire : 59 ans, ce qui est trop et trop peu à la fois. Trop pour défaire ou refaire ce qui a été fait, faute d'énergie et de temps. Pas assez pour s’élever dans le nirvana.

Je suis heureux que la réalité s’impose et le jour de mon anniversaire, elle risque d’exploser. Les actions, ils nous les promettent : les syndicats, les partis, les politiciens proclament que la rentrée sera chaude, mais en effet il ne s'agit que du discours plébiscitaire populiste car le coche a été raté pour destituer le président Macron, en juin l’année dernière, par le parti vainqueur des élections législatives, le RN de Marine le Pen. Certes elle a pensé s’associer avec la nomenclatura démocratique, mais en guise de remerciement elle a reçu une condamnation hors du commun et sur mesure pour ne plus déranger. Même si la révolte commence, quelle force la ménagera ?

Le 10 septembre est le jour de mon 59ᵉ anniversaire. Happy Birthday, Mr. President ou Happy Birthday, Mr. Niemand ! Niemand est un mot allemand, doté d’une connotation d’apostasie. Le 10 septembre 2025 risque d’être un remake du chaos annoncé par les élites au pouvoir depuis le refus du référendum de 2003 sur la Constitution européenne. Presque chaque année cette menace revient pour faire valoir que la « démocratie est la moins pire des organisations sociétales », comme le disait jadis Sir Winston Churchill.

Niemand, c’est celui qui n’est pas. Ce mépris des peuples qui s’accumule et pose des problèmes qui vont faire imploser ce système de dialogue de sourds et de cacophonie parlementaire. Il ne s’agit pas du tout de la révolte de rebelles, d'islamistes, de « sans-dents », de gueux, de mélenchonistes, de bonnets rouges ou des gilets jaunes, comme les gardiens du Statu quo essayent de nous le faire comprendre, mais bien de la surdité chronique et de la logorrhée de la caste au pouvoir et de la contestation de cette ignorance par une grande majorité des populations administrées. Ce délire marxiste-léniniste-attaliste (selon Jacques Attali), dont l’acronyme est DMLA, marche aussi comme la dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA). Il empêche de voir le présent non déformé, nie la réalité et impose des solutions chimériques. Il faut, à mon avis, que le président Macron démissionne, comme je l’avais déjà sollicité depuis 2017 en plusieurs occasions, et que l’Assemblée soit dissoute et qu’une nouvelle Constitution soit adoptée.

Mais quelle constitution ? Avec quelles forces ? Démocratique ou autoritaire ? Socialistes, étatistes ou libertariens ? Les élites d’hier et d’aujourd’hui, comme elles s’appellent elles-mêmes, sont tellement choisies qu’il n’existe pas de véritable alternative, dynamique, similaire à ce que représente le mouvement du président Trump aux USA ou auparavant de Mikhail Gorbatchev, car depuis 1989 les polarités sont faussement construites et les mensonges prolifèrent ; ces « élites » et leurs « solutions » ne sont que des sophistications marxistes-léninistes-attalistes parallèles à la réalité selon le Gestell.

Le plus désastreux est ce cadre, framing ou Gestell de Martin Heidegger (1889-1976), dans cette idéologie qui herméneutiquement explique par ses propres fausses prémisses, postulats, conclusions… ce qu’elle veut imposer comme solutions. C’est une nouvelle religion du « progrès », comme si celui-ci pouvait être défini dans les crânes brulés de ces idéologues ! Mais ça suffit ! En un seul mot : le changement opère et il est inébranlable.

Le statu quo persiste, et la situation s’empire. Tant au niveau social, politique, économique qu’international. Pour le maintenir, ses gardiens proposent de ressusciter la vieille recette du mépris et de la haine pour diviser et mieux régner : xénophobie, chauvinisme, homophobie, luttes des classes, exclusion, protectionnisme, patriotisme hystérique, traditionalisme irrationnel, anti-immigration haineuse, patriarcat oppressif, …

Les incompétences européennes, ses permanentes intrigues, mensonges, sont conceptualisées plus à Paris qu’à Berlin. L'alignement de notre président Emmanuel Macron avec les néonazis ukrainiens, dont la milice Azov, en février 2022, sans aucun mandat, était une faute, que les Français devront payer avec des nouveaux impôts comme les droits de succession et des prélèvements sur leurs assurances vie. (NB : les références comme Bender ou benderovtsi, Azov, « Gloire à l’Ukraine »… sont liées uniquement au fascisme nazisme ukrainien de 1942). Rappelons que le régime de Kiev a commencé la guerre contre ses propres populations en 2009 puis en 2014. La présidente de la CE, Mme Ursula von der Leyen, affectueusement nommée par le ministre Sergei Lavrov “Führer Ursula”, est aussi un produit des intrigues élyséennes, car son poste a été négocié sur le dos de Thierry Breton.

Le statu quo en France, en Europe reste, mais les temps changent. La perestroïka, dont j’étais un farouche partisan dans ma jeunesse dans un pays encore communiste, la Tchécoslovaquie, a finalement, Dieu merci, commencé quarante ans plus tard (ce qui est aussi un chiffre biblique) également en Occident dans une réélection triomphale de Donald Trump. Effectivement, il y avait quatre années perdues avec la sénilité désastreuse du parti des ânes des USA, mais tout est bien qui finit bien.

Les démocrates américains, jadis une étoile de navigation pour les peuples opprimés en Europe de l’Est (notamment sous Jimmy Carter), sont devenus un parti idéologiquement hystérique, sous l’emprise de la DMLA globalisée (une perte de vision politique à l’échelle mondiale), et pourtant mort. Les « droites » politiques américaines ne sont pas qu’un seul parti uni, et ne sont pas que les Républicains, dont la moralité vacille à l’épreuve du temps : il y a de nouveaux partis : les libertariens, les patriotes, etc. À « gauche » aussi, les Démocrates, dont l’héritage désastreux est encore plus nauséabond que la moralité des Républicains, sont en concurrence avec des écologistes, des féministes, des wokistes LGBQTA+… et autres. La plupart, comme partout, sont hélas des marxistes, marxistes-léninistes-attalistes : non seulement ils n’expliquent pas le monde et le changent, mais de plus ils croient que le partage du travail et de ses fruits crée la richesse au lieu de voir qu’elle engendre injustice, inégalité et hiérarchie.

Le grand changement est l’abandon de la théorie et de la pratique de l’État Léviathan (1651), terme de Thomas Hobbes (1588-1679). Non seulement Donald Trump a le charme d’un grand manitou d’un self-made man, de plus, se servant de l’expérience de sa première épouse Ivanka, le rend personnellement convaincant dans ses efforts pour abandonner la pratique et la théorie de l’État providence, Léviathan, sans contrat social au profit d’initiatives humaine et entrepreneuriale et la concentration de l'Administration sur la gestion de l’État régalien (Régalien, destiné au roi = finances, défense et justice, intercommunalité.) pour atténuer l’angoisse humaine de la mort violente. Si je parle d’État Léviathan, j’ajoute, en sous-entendu, la notion de corporation (employeur) Léviathan (« tout pour le salarié »). (NB : Ivanka Trump avait des origines tchécoslovaques, moraves, les mêmes que moi et elle était aussi allergique au troupisme sociétal, communiste ou fordiste-baptiste.)

La métempsycose politique aux USA d’aujourd’hui abandonne aussi l’idée d’État-nation (invention française napoléonienne), et la remplace par l'administration impériale, multiethnique, multiculturelle. L'Europe, suivant les conseils toxiques et erronés de Jacques Attali, prône le contraire : agglomération des États-nations, certes, patriotiques, voire national-socialistes, gestion unique et non diversifiée. À la place de cette mayonnaise, l’Europe propose une salade. L'adhésion unanime européenne aux dogmes de la globalisation clinton-obama-bidenienne et en France et en Europe depuis les vices de Jacques Attali, depuis Mitterrand jusqu’à Macron, fait de la France une figure de proue de la négation de la réalité au profit d’une idéologie marxiste-léniniste attaliste et de son ultime délire. Je laisse ceux qui encore voient en Jacques Attali un visionnaire juger son impertinence de se faire qualifier de futurologue, malgré le fait qu’il n’avait pas prévu ni la crise 2008 des subprimes, ni la guerre en Ukraine, ni le génocide gazaoui, ni la pandémie du Covid ou Sars, ni la réélection de Donald Trump, ni le vol de ses élections de 2020…, mais il juge utile de brider toute évolution spontanée de la société afin qu’elle corresponde à ses souhaits technocratiques. Il prône le vol de l’avenir selon ses idéogrammes à la place de l’évolution vers le futur.

MAGA, Make America Great Again, n’est pas uniquement un slogan de trumpistes, c’est aussi un vœu pieux du monde entier qui souhaite un retour de certaines formes étatiques régaliennes, car l’évolution depuis 1989 est restée dans les mains d’oligarques sans scrupules !

Récapitulons brièvement et avec une forte charge caricaturale : 1989 le mur de Berlin est tombé, à l’initiative de la CIA et de ses vassaux européens et avec les accords tacites du KGB et la permission ouverte de Mikhail Gorbatchev. François Mitterrand, digne héritier de sa marisque de Vichy, en écoutant Jacques Attali, une éminence grise, occupa son poste, autrement plus tard et mieux desservi par son meilleur ennemi historique et successeur Jacques Chirac, qui deviendra le président en 1992. Ronald Reagan, ayant fait une pression sur l’OPEP, l’Arabie saoudite notamment, a obtenu l’effondrement des cours de pétrole, ce qui a asséché les ressources financières de la perestroïka soviétique. L’insurrection des gueules noires du Donbass fut à l’origine de l’élimination de Mikhail Gorbatchev orchestrée par l’Ouest (ils l’ont toujours vu comme un apparatchik et non comme un rédempteur ! comme d’autres dignitaires : Nikolai Ryjkov, Edouard Chevardnadze, Evguéni Primakov…). et la dissolution de l’Union soviétique en 1992 a mis au pouvoir les oligarques (Berëzovski, Nemtcev, Eltsine, Abramovitch…), indécemment soutenus par l’Ouest, dont les incompétences en gestion sociétale se sont avérées catastrophiques : crise financière russe sous Eltsine, guerres en Tchétchénie, Kosovo, pour camoufler les vols au sein de l’armée, génocides tadjik, arménien… persécutions des Russes et russophones hors de la frontière continentale de la Russie (dans des pays de l’ancienne URSS : Ouzbékistan, Tadjikistan) et surtout instauration de nouveaux riches, oligarques et plutarquiens dans les pays de l’ancienne sphère du marché commun de l’Est (COMECOM) (Europe centrale et orientale : anciennes pays (Tchéquie, Roumanie…) et les républiques soviétiques (Ukraine, républiques baltiques…). Cela a été une guerre des seigneurs de l’Est. Hélas les seigneurs (plutarquiens), sans aucune vision régalienne commune, ont gagné, en éliminant toutes les autres formations sociétales (classes moyennes) du banquet et en amenant le monde au bord de la crise nucléaire.

Et, paradoxalement, ou dialectiquement, une arrivée de Nouvel Ordre Mondial sur les débris de l’ancienne hégémonie bicéphale (URSS-USA) d’après-guerre et guerre froide, sous l’égide de la Chine et des pays « émergents » : BRICS…

Pour finir cette instabilité interne, le nouveau sauveur de la Russie éternelle fut recherché : L’arrivée de Vladimir Poutine a signifié la fin de ces temps troubles pour la population russe désemparée et une réinstauration d’un gouvernement centralisé impérial autoritaire moscovite. Ces temps troubles, avec concurrence d’oligarques sans fin, s’appelleront peut-être un jour « la guerre des seigneurs », comme ceux de Boris Godunov (1610). La guerre et la haine incarnée par Volodymyr Zelenski contre l’Etat russe provient du fait que tous les seigneurs ont bénéficié du vol des biens d’Etat de la République Ukrainienne depuis la disparition du président Leonid Koutchma 2004, qui fut conçue comme une oligarchie de voleurs (Ianoukovitch, Porochenko, Zelenski).

Et le risque donc ? Le risque pour Donald Trump, chef suprême des armées et responsable économique, pragmatique, non dogmatique, sans idéologie fixe, libéral au sens entrepreneurial… est le même que pour Mikhail Gorbatchev : une trahison interne c. à d. de se trouver coupé et isolé par des arrivistes au sein de ses propres troupes. Certes, il y a des différences entre Mikhail Gorbatchev et Donald Trump (l’un était beaucoup plus jeune, éduqué, apparatchik, bridé dans son élan par un parti unique sclérosé, l’autre est plus âgé, multimilliardaire, expérimenté de la démocratie et des partis politiques corrompus. Donald Trump n’a pas besoin d’ouvrir de « glasnost » mais il doit se méfier des fake-news, des réseaux, IA, des journalistes…). Ces dissimilitudes ne changent rien à propos du contexte de trahison. Les Français : François Fillon ou Dominique Strauss-Kahn peuvent en témoigner.

La guerre de seigneurs a probablement commencé aussi aux USA avec le départ d’Elon Musk ou la critique de Georges Soros comme les prototypes d’oligarchie occidentale nouvelle. La différence entre les libertariens ou Donald Trump et les oligarques est que les oligarques n’ont aucune vision du bien commun, ni du régalien. À l’Est, ceci a amené le collapsus de l’URSS et de son empire et aux guerres civiles, tandis qu’en Occident, ceci peut amener des guerres civiles et le collapsus de l’empire américain. Il est donc vital pour nous tous que le MAGA devienne la réalité et que l’Europe, notamment la France, se réveille de son somnambulisme dogmatique, de son DMLA, délire marxiste léniniste attaliste.

Je suis heureux que la réalité s’impose. Le jour de mon anniversaire, elle risque d’exploser dans les actions multisysndicales. Les syndicats, les partis politiques, les politiciens, tous proclament que la rentrée sera chaude et nous promettent des actions, mais en effet, il ne s'agit que du discours plébiscitaire populiste car le moindre chaos, même régénératif, peut-être trop douloureux pour toutes les classes politiques actuelles et leurs serviteurs, pour tous les législateurs. Mais ce chaos régénérateur n’est dangereux ni pour la jeunesse, ni pour la France, car après le déluge, il y aura le soleil à nouveau. Il pourrait ouvrir la voie à un renouveau indispensable.

C’est le renouveau, le Big Bang de la perestroïka en Occident, l’adaptation européenne nécessaire au Nouvel Ordre Mondial.

Ce sursaut populaire sera un très bon cadeau pour mon anniversaire de la part de Mr Niemand, de Personne, de celui qui n’est pas : je vous en remercie d’avance.

La situation ubuesque avant la chute probable du Premier ministre François Bayrou et de son gouvernement nous fait vivre le spectre de l'arrivée au pouvoir d’une partie de la gauche dite ‘caviar’, bien établie dans l’Hexagone. La réalité ne fait pas rêver et en France les électeurs (et surtout les mass médias) demandent aux politiciens de nous faire rêver au lieu de faire une gestion. Ceci s’avère véridique depuis l’arrivée de François Mitterrand en 1981, ou plutôt depuis la décapitation du dernier Capétien en 1793.

Certes, l’élection d’un homme de gauche fut un changement par rapport aux années d’après-guerre et des Trente Glorieuses bleu foncé de Charles De Gaulle à Valéry Giscard d'Estaing. L’abandon de la verticalité royale au profit de l’horizontalité populiste nous fait miroiter le mensonge que tous les avis ou opinions sont équitables. Cela s’est produit à ce moment-là. D’où les cacophonies partisanes et la surdité des élites.

La devise “quoi qu’il en coute si c’est vous qui payez” s’est incrustée d'une telle façon qu’elle devient indélébile. Pas de réalité économique, il n’y a que la volonté de s’imaginer au-dessus de tous et de tout, ce qui compte pour faire valoir ce que devient l’idéologie morbide marxiste qui transforme le monde sans l’expliquer. Le soft-power démocratique est aussi exténuant que les bottes totalitaires.

La négation de la réalité et l’instauration du mensonge comme monnaie d’échange entre humains ont entrainé un semblant pris pour du réel, comme dans l’IA. C’est une nouvelle religion “scientifique du progrès”.

Même si je me félicite d’un sursaut populaire le 10 septembre 2025, je reste expectatif concernant l’aboutissement de cette révolte. Je crains que la majorité de l’électorat français souhaite se voiler la face devant la réalité une fois de plus.

Malgré l’arrivée mitterrandienne, le choix du Premier ministre était judicieux. La disparition du décalage entre la fonction du président et du Premier ministre dans l’instauration du quinquennat par Jacques Chirac empêche une vraie cohabitation. Depuis 1981, l’idéologie présidentielle bride le réalisme du chancelier. Seul Jacques Chirac reste en dehors de cette critique, son réalisme politique et social étant ancré dans son savoir-vivre terrien et sa philosophie du présent. Les premiers ministres ont toujours été la fierté de la France, de la Cinquième République : de Michel Rocard à François Bayrou. Si Gabriel Attal, François Bayrou, Michel Barnier, Elisabeth Borne, François Fillon, Lionel Jospin, Laurent Fabius, Bernard Cazeneuve… sont différents dans leurs solutions proposées, leurs gestions étaient plutôt cohérentes tout en augmentant la dette publique, n'obéissant qu’à l’idéologie du progrès, à la fuite en avant et à leur peur d’un vote sanction et d’un refus électoral. La réalité n’est ni tragique ni rose. Elle est telle qu’elle est mais son déni coute cher. À noter, l’inflation et l’instabilité cachée : la présidence d’Emmanuel Macron a couté déjà six postes de premiers ministres (y compris l’anticipation de la chute de François Bayrou) en 8 ans (Charles de Gaulle et François Hollande ont nommé trois premiers ministres, Georges Pompidou comme Valéry Giscard d’Estaing deux, François Mitterrand sept (!) en quatorze ans, Jacques Chirac en douze ans quatre, et Nicolas Sarkozy un, le meilleur, François Fillon).   Le dernier interview de François Bayrou prouve bien son attachement au réel et son refus du mensonge : les mass media le considèrent comme une arrogance et une rupture démocratique. Oui, il faut sauver le soldat Bayrou parce qu'il ne fait pas rêver !

Si je souhaite la démission du président Macron et ceci depuis son arrivée en 2017, je me demande qu’elle alternative gouvernementale proposer, à la place des premiers ministres, qui dans leur lucidité quotidienne se rendent compte de l’impasse du modèle vétuste et de la mort d’une société basée sur le salariat marxiste-léniniste-attaliste et la redistribution injuste, tout en dégradant constamment l’indépendance, l’entreprenariat et le travail. La nécessité de la révision du modèle sociétal français semble partagée par plusieurs politiciens avérés : d’Éric Zemmour en passant par Nicolas Dupont-Aignan et Thierry Breton.

La destitution du président Macron est un vœu pieux pour un bien commun, ainsi que la dissolution de l’Assemblée nationale et la chute de l’actuel gouvernement. Les nouvelles élections législatives prôneront une fois de plus de garder le voile rose devant la réalité et je crains qu’ils donnent un panaché cacophonique au Parlement sans une majorité absolue nette. Néanmoins la gestion quotidienne du pays ne peut être hors du sol et toute approche réaliste ne peut être incarnée que par ceux qui échappent à la tutelle idéologique, notamment le délire marxiste-léniniste-attaliste. La nouvelle Présidente ou le nouveau Président peuvent incarner la bascule de l’idéologie vers le réalisme. Les premiers ministres ont toujours été réalistes.


10 ans, 20 ans maxi … et tout bascule
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